Coup de tonnerre ! Homosexualité : Le journal L’Indépendant crucifie J.Remy Ngono !
Le chroniqueur camerounais J.Remy Ngono vient d’être la
cible d’une sortie incendiaire dans le journal L’indépendant.
Dans cet article aux mots crus, l’on démonte le journaliste de la RFI dont les
sorties récurrentes sur le régime en place font l’objet de vives polémiques.
Réponse du berger à
la bergère, le journal L’Indépendant répond aux allégations de Rémy Ngono,
concernant de prétendues pratiques sexuelles au Palais de l’Unité.
Lea-camer vous
propose l’intégralité de cet article :
Parti du Cameroun
à la suite de ses déboires à Radio Siantou, J. Remy Ngono a créé un style à la
radio. Redresseur de torts et justicier, franc-tireur, sa tristement célèbre
tribune au vitriol ‘‘Coup-franc’’, est devenue un véritable objet de lynchage
médiatique. Personne n’y échappe. Chacun en prend pour son grade. Il en veut
particulièrement à son pays d’origine. Il distribue des bons et des mauvais points,
se faisant à la fois procureur et censeur, objecteur de conscience et lanceur
d’alerte, agitateur d’idées et donneur de leçons.
Sur la célèbre émission de grande écoute ‘‘Radio foot international’’, il
soutenait que le Cameroun ne pouvait pas organiser une coupe d’Afrique des
Nations, faute de la moindre infrastructure sportive du fait de la corruption
rampante et des détournements massifs. Toute honte bue, il se fera reprendre
par Constant Omari qui, d’un récent séjour au Cameroun, avait été émerveillé
par la qualité des infrastructures sportives, et invitait ce trublion de
service à ‘‘être fier d’être camerounais’’.
Dans le célèbre ouvrage ‘‘Complexe du colonisé’’, l’auteur décrypte tout le
processus de lessivage mental et de déculturation ayant amené l’homme noir à
penser que la prétendue supériorité de l’homme blanc proviendrait de quelque
raison biologique.La première révolte de J. Remy Ngono, est contre lui-même.
Aujourd’hui complètement décapé et émasculé, c’est un personnage risible et
artificiel, complexé aigri envers son pays et ses dirigeants, déterminé à
dépeindre le Cameroun dans ses aspects les plus sombres.
L’ARROSEUR ARROSÉ
Lorsqu’on se positionne en donneur de leçons, on se doit d’observer une
certai- ne rigueur morale envers soi-même. L’exil politique de J. Remy Ngono,
s’est mué en un combat pour la survie. Dans une société qui consacre le mariage
pour tous, pour être adoubé par certains milieux médiatiques, le fils de
Fegmim- bang dans la Mefou et Akono, s’est livré à corps perdu dans des
relations sexuelles contre-nature. On se demandait bien comment avec son Bac
‘‘D’’ qu’il affiche comme référence, son niveau de langue, il avait réussi à
devenir la star des médias qui se veulent pourtant exigeants ? L’univers
impitoyable dans lequel il a été happé avec les connexions d’Alain Foka et
autres, ne l’a pas protégé.
Depuis le 31 mars dernier, la toile est inondée du piteux sort de J. Point
Remy Ngono et des conséquences pitoyables de l’activité sexuelle qu’il mène
volontairement ou par dépit : ‘‘Mam’zelle Ngono a subi une opération du rectum
(anus) mercredi 31 mars 2021 à l’hôpital Armand-Trousseau, Avenue du docteur
Arnold Netter 75012 Paris. Les médecins disent que son pronostic vital n’est
pas engagé, mais il doit arrêter l’activité sexuelle par l’anus pendant au
moins un an, pour que son rectum puisse se refermer.’’
et autres, ne l’a été divulguée au mépris du sacro-saint.
Au moment où le Cameroun et certains dirigeants africains subissent des
pressions afin de légaliser l’homosexualité, J. Remy Ngono est aujourd’hui la
sombre représentation d’un africain qui a renié toutes les valeurs culturelles
de son continent. Il a mené une double vie. Aujourd’hui, complètement pressuré,
c’est une femmelette qui n’intéresse plus.
L’activité sexuelle qui l’a fait ‘‘star’’, le fait aujourd’hui simple
guignol des paillettes médiatiques et d’une société franchement impitoyable.
Ainsi, J. Remy Ngono a utilisé le canal anal comme mode d’ascension sociale.
Dure sera la chute .