‘’ Il y a un envoutement sexuel de la jeunesse camerounaise, pour des pratiques ésotériques ‘’ Christian Ntimbane Bomo
La dépravation sexuelle chez les mineurs, prend des
proportions inquiétantes au Cameroun ces temps-ci. Après la diffusion de vidéo
érotique des élèves de Kribi, une bande de jeunes ont été interpelés en train d’organiser
une sextape.
A en croire l’avocat au Barreau de Paris, ce phénomène est la résultante d’un
phénomène qui défie la raison.
A en croire Christian
Ntimbane Bomo, il y a une sorte d’envoutement de la jeunesse camerounaise
depuis un certain temps.
‘’ La pratique publique de la fornication et à plusieurs qui a court dans de nombreux établissements scolaires au Cameroun, n’est pas un effet de mode. C’est une pratique ésotérique d’envoutement de la jeunesse ‘’, écrit l’avocat au barreau du Cameroun dans une tribune ce mardi.Dieu vivant
Plus grave, l'avocat souligne,
qu’il s’agit par ailleurs d’un réseau bien ficelé.
‘’ Il y a des meneurs parmi ces enfants dont la mission est de recruter
le plus grand nombre de victimes. Tout enfant qui a participé à ces scènes a
intégré inconsciemment le cercle ésotérique et plus grave, a fait
alliance avec la reine des eaux. Une principauté démoniaque qui règne dans les
océans et mers ‘’, poursuit-il.
‘’ Vous
allez d’ailleurs constater qu’après cet acte, la vie de cet enfant
deviendra un véritable calvaire, qui peut dans certains cas le pousser au
suicide. Ou alors l’enfant sera comme vide. Vous êtes libre de
croire ou pas. En tant qu’homme spirituel, voyant ce que l’œil humain ne peut
voir, je vous aurais averti ‘’, conclut Christian Ntimbane Bomo, qui
se présente par ailleurs comme serviteur du Dieu Vivant.
Notons que la
délinquance sexuelle des jeunes camerounais, notamment des élèves, a fait l’objet
d’une sérieuse sortie du Ministre de l’Enseignement Secondaire.
Elle a en effet pris des mesures fortes, en ordonnant l’expulsion des élèves
impliquées dans l’affaire des vidéos pornographiques de Kribi.
Mais pour l’opinion publique, le corps professoral est le principal responsable
placé sur le banc des accusés.